L’EDHEC, catalyseur d’expériences de vie

« À 57 ans j’ai éprouvé le besoin de partager mon expérience EDHEC et post EDHEC, auprès de tous ceux qui ont eu le plaisir de vivre des années trépidantes dans la merveilleuse ville étudiante qu’est Lille.

LA DÉCOUVERTE ET LA PASSION DU DÉVELOPPEMENT

L’élément déclencheur a été la fierté que j’ai eue en voyant ma fille intégrer notre école à son tour cette année, et voir ainsi l’histoire se perpétuer.

Je me suis remémoré mes trois belles années lilloises, catalyseur finalement de ce qu’est ma vie aujourd’hui, toujours aussi animée par la passion de découvrir et de créer.

À l’époque, pour ceux qui s’en souviennent, c’était le bouillonnement perpétuel entre les associations et les cours… Au milieu de ce tumulte, j’ai découvert les premiers ordinateurs, les « Data General », et avec eux le désir de créer, de se dépasser.

Cette passion pour le développement d’applications qui m’animait a éveillé l’intérêt de deux hommes – à qui je dois tout et que je remercie aujourd’hui – Jacques-Louis Keszler, à l’époque directeur de l’EDHEC et directeur de l’EISTI et Hervé de Milleville, responsable du département statistiques et techniques quantitatives. Grâce à eux, j’ai pu intégrer l’EISTI en troisième année et obtenir par la suite un MS en Computer Sciences aux Etats-Unis.

APPRENDRE À SE CONNAÎTRE POUR S’ÉPANOUIR

Si je devais résumer… je dirais que mes études m’ont appris à chercher, à savoir trouver mais surtout à mieux me connaître.

Ayant démarré en tant que chef de projet informatique chez BNP Paribas, j’ai ensuite été pendant plus de quinze ans consultant en organisation et gestion des systèmes d’informations, d’abord chez Eurogroup Consultants puis à mon compte.

C’est finalement dans l’accompagnement quotidien de mes clients que j’ai trouvé mon épanouissement professionnel. Aujourd’hui, je les conseille dans la réalisation de leurs projets de vie en gérant leur patrimoine tout en tenant compte de leurs projets futurs, aussi bien personnels que professionnels.

Le choix de ce métier n’est pas anodin : la gestion de patrimoine – bien que liée à l’aspect financier – m’offre une proximité unique avec les investisseurs. C’est une relation à long terme qui me permet de connaître leur histoire, leur environnement, leurs aspirations. Cette proximité me permet de déployer au mieux une stratégie personnalisée et cohérente qui leur ressemble. »